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❞ OXANA BLANKETT

« a revolution has begun today for me inside, the ultimate defence is to pretend. Revolve around yourself just like an ordinary man, the only other option to forget. »

☪ I HAVE SOME QUESTIONS TO ASK
QUE RESSENTEZ-VOUS PAR RAPPORT AUX JACKALS ? ▲ De la haine, bien évidemment. Je préfère ne pas en croiser, et je n'en ai croisé aucun pour l'instant. Enfin, je n'en ai pas affronté. J'en ai déjà croisé, oui, à cause de leur odeur épouvantable. Mais je n'ai jamais fais de combat avec eux, et je ne me sens pas prête. Ils sont beaucoup plus fort que nous, je ne survivrais pas. QUE RESSENTEZ-VOUS PAR RAPPORT A L'ORDRE ? ▲ Je les méprise totalement. Autant j'aime beaucoup les humains, mais ceux qui appartiennent à l'Ordre n'ont absolument rien compris. Ils nous vouent une haine immense, et je ne comprendrais jamais cela. Ils ont leurs convictions, mais je n'accepte pas qu'ils veulent notre mort. QUE RESSENTEZ-VOUS PAR RAPPORT AUX HUMAINS ? ▲ Je n'ai rien contre les humains, contrairement à certains Mais. Je les aime bien, même. Pendant des années, je me suis prise pour une humaine, mes parents m'ayant caché ma véritable nature pour que je ne sois confrontée à ça qu'une fois le moment venu. J'ai donc beaucoup d'amis humains, et même si je suis une Mai, mon regard sur eux n'a pas changé. J'aime être à leur contact. COMMENT AVEZ-VOUS VECUT VOTRE TRANSFORMATION ET QUAND ET COMMENT S'EST-ELLE PRODUITE ? ▲ Ma transformation a eu lieu il y a de cela deux ans. Je l'ai très mal vécu. J'ai été terrorisée lorsque j'ai eu tous ces changements. Je ne m'y attendais pas, puisque je ne connaissais pas ma véritable nature, mes parents me l'ayant caché afin de ne pas m'y confronter. J'aurais préféré qu'ils le fassent. Je n'étais pas forcément dans une bonne période, puisque mon père venait tout juste de mourir. J'étais complètement perdue, et j'ai affronté ça toute seule. Enfin, pas totalement. Ma demie-soeur Clare, que j'ai connu à l'enterrement de mon père, est venue m'aider, puisque cela faisait deux bonnes années qu'elle avait subi sa transformation. Elle m'a entraînée et m'a appris à vivre avec cette différence. Je lui en serais toujours reconnaissante. SAVIEZ-VOUS CE QUE VOUS ETIEZ DESTINE A DEVENIR ET SI OUI, COMMENT VOUS SENTIEZ-VOUS PAR RAPPORT A CA ? ▲ Non, je ne le savais pas. Mes parents le savaient eux. Evidemment. Mais ils ne m'ont rien dit. Lorsque ma transformation a eu lieu, mon père n'était plus là, et bien trop énervée contre ma mère, je ne lui en ai pas parlé. J'ai traversé ça avec Clare, ma demie-soeur. C'est elle qui m'a conseillée d'en parler à ma mère, et c'est ce que j'ai fais. Elle m'a assurée qu'ils me l'ont caché pour mon bien, afin de ne me laisser profiter de mon enfance entièrement. Mais je leur en veux toujours un peu, même deux ans après. J'aurais voulu être mieux préparée. QUEL EST LE PLUS GROS REGRET DE VOTRE VIE ? ▲ Des regrets. Une vie est construite par les regrets. Tout le monde en a, et des tas. Mon plus gros regret serait peut-être ne pas avoir assez profité de mon père. Au moins, il était là. Je ne m'en rendais pas compte lors de son vivant. Je passais ma vie à lui faire la tête pour un rien, et je ne lui montrais jamais à quel point je l'aimais. Mais à sa mort, j'ai compris à quel point je n'avais pas fais ce qu'il fallait. Et surtout, j'ai rencontré Clare, la fille qu'il a abandonné avant même qu'elle ne soit née. Et je me suis rendue compte de la chance que j'avais eu de grandir avec un père et une mère, et je regrette aujourd'hui de ne pas pouvoir lui dire à quel point je l'aimais et à quel point je lui suis reconnaissante d'avoir été là pour toutes les épreuves que j'ai pu subir dans la vie.

☪ FEW THINGS YOU MIGHT NEED TO KNOW
Elle a eu la chance de vivre avec ses deux parents. Une chance qu'elle ne voyait pas lorsqu'elle était encore enfant, et même adolescente. Mais à ses dix-sept ans, elle a perdu son père, et elle a alors connu la fille qu'il a abandonné avec sa naissance afin de fonder une famille avec la mère d'Oxana. Elle s'est alors rendue compte à quel point elle avait eu de la chance de grandir dans une famille solide et unie. △ Elle ne fume pas et ne boit pas, elle ne prend pas de drogue non plus. C'est une fille plutôt saine de corps et d'esprit. △ Elle n'est pas vraiment loquace. Lorsqu'elle parle, c'est toujours réfléchi et pour faire quelque chose de bien précis. Ce n'est pas son genre de parler pour ne rien dire. △ Après deux ans d'entraînement avec sa demie-soeur, Oxana est devenue une Mai qui s'assume et qui n'a peur de rien. Elle arrive parfois même à apprécier sa condition, et ça lui arrive souvent de se balader et de sauter de toits en toits pendant la nuit. Disons que cela est sa notion personnelle de prendre l'air. △ Elle a toujours été très douée pour les langues, et c'est ainsi qu'elle sait parler l'anglais - sa langue maternelle - mais aussi le français et l'italien.

☪ WHO YOU REALLY ARE
PRÉNOM/PSEUDO ▲ Romane/Hummingbird. ÂGE ▲ Dix-sept ans. PRÉSENCE ▲ Everyday. QUELQUE CHOSE A DIRE SUR LE FORUM ? ▲ J'ai hâte de le voir achever, depuis le temps. CÉLÉBRITÉ ▲ Phoebe Tonkin. UNE DERNIERE CHOSE A DIRE ? ▲ Mon amante, on va gérer.

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« Ma petite fille est devenue grande, maintenant. » Mes yeux sur ma silhouette se reflétant dans le miroir en face de moi se relevèrent en entendant la voix familière qui me rassurait tant. Je soupirais en souriant, amusée. « Arrête papa. Je suis aussi grande qu'hier. Ce n'est qu'une date parmi tant d'autres. » J'avais beau dire ça, j'étais dans le même état que lui, même si ce n'était pas pour les mêmes raisons. Pour moi, c'était une première étape vers la liberté. Je n'étais pas encore majeure, mais je m'en rapprochais de plus en plus. Et seize ans, ça ouvre pas mal de possibilités, il faut l'avouer. « Allez, viens là que je t'embrasse. » Je souris et m'approchais de lui pour aller me blottir dans ses bras. « Je t'aime papa. » Soudain, la sonnerie retentit dans la maison, et je me détachais de mon paternel. « Tiens, ça doit être tes deux inséparables. Amuses-toi bien surtout. » Je lui jetais un regard complice pour lui assurer qu'il n'avait pas besoin de me le dire pour que j'y pense. Je mis une dernière couche de rouge à lèvres et descendis les escaliers avec hâte. Lorsque je vis Noah et Birdie, un immense sourire s'afficha sur mes lèvres, et je vins à leur rencontre. Ma mère nous embrassa et nous quittions la maison familiale, nous enfonçant dans la nuit noire. Je m'installais ensuite à l'arrière de la voiture des Cromwell, mes deux meilleurs amis, qui étaient frères et soeurs, mais aussi mes voisins pendant des années. « Allons savourer tes nouvelles libertés. » Je ris en entendant Noah et secouait la tête. « Noah, je n'ai que seize ans, tu sais ? On va pas aller loin avec ça. Puis on est que tous les trois. Non pas que je me plaigne, c'est très bien comme ça. » Noah et Birdie se regardèrent malicieusement, et Noah appuya sur l'accélérateur. Je fronçais les sourcils, me demandant ce qu'ils manigançaient encore ces deux-là. Un quart d'heure plus tard, nous arrivions devant un local où une fête avait l'air de battre son plein. Je sortis de la voiture et regardais le bâtiment, puis je me retournais vers les Cromwell. « Ne me dites pas que vous avez organiser une fête ?! » Noah aussi les épaules d'un air innocent, et Birdie s'avança vers moi pour me prendre le bras et m'entraîner dans le bâtiment. « La reine de la soirée est arrivée. » Je souris, légèrement mal à l'aise. Ce n'était pas mon habitude d'être au centre de l'attention. Mais au bout de quelques minutes, j'étais totalement dans mon élément. Tous mes amis étaient là, Noah et Birdie n'avaient pas négligé la liste d'invités. J'observais la scène pendant un instant, et me sentis complètement heureuse. J'avais des parents aimants, des amis formidables, et rien n'allait mal dans ma vie. Que demander de plus, à part que cela continue aussi longtemps que possible ?

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Un bruit sourd provenant de la fenêtre me fit lever la tête de mes bouquins. Je retournais au travail au bout de quelques secondes, mais le bruit se reproduisit. Je déposais mon crayon à papier sur ma feuille et me levais pour aller ouvrir la fenêtre. Noah se tenait en bas, jetant des cailloux sur ma fenêtre pour attirer mon attention. Je soupirais. « Noah, qu'est-ce que tu fais ? Tu dois venir dans un quart d'heure, et t'as plus besoin de te faufiler en douce je te signale. » Il grimaça. « Je sais bien, mais j'ai peur. » Je secouais la tête et fronçais les sourcils comme s'il disait n'importe quoi. « Ferme-la et va sonner à la porte comme toute personne civilisée. Il va pas te bouffer. » Je refermais la fenêtre, mettant un terme à notre conversation. Quelques secondes plus tard, la sonnerie se déclencha, et je souris. Je sortis de ma chambre et descendis les escaliers avec hâte. Cependant, mon père avait atteint la porte avant moi, et se retrouvait face à face avec Noah. « M. Cromwell. Vous avez pas dans l'idée de laisser ma fille tranquille un de ces jours ? » Je fronçais les sourcils et me dirigeais vers eux. « Papa ! » Noah et mon père s'étaient toujours bien entendus, mais il y a deux jours, j'avais annoncé à ma famille que Noah était maintenant plus qu'un simple ami. Mon père n'avait pas vraiment accepté la nouvelle, et c'était la première fois qu'ils se confrontaient. Je m'emparais de la main de Noah et lui indiqua le chemin pour aller à ma chambre. Une fois qu'il fut parti, je me retournais vers mon père. « Mais qu'est-ce qui va pas chez toi ? » Il soupira et voulu me prendre la main, mais je me reculais d'un pas. « Je n'ai rien contre lui, ma puce. Mais votre couple, ce n'est pas sain. Tu verras plus tard... » Je levais la main pour l'interrompre et regardais le verre dans sa main. Ces derniers temps, il était amené à boire plus que la moyenne. « Tu racontes n'importe quoi. Arrête de boire et on verra après. En attendant, mon couple ne te regarde pas, et je continuerais de voir Noah tant que j'en aurais envie. » Je montais les escaliers pour aller rejoindre Noah et m'allongeais sur mon lit, à ses côtés. Je me blottis contre lui et il me caressa le dos. « Je suis désolée, il n'aurait pas dû agir comme ça. » Il soupira. « Ce n'est pas bien grave, ce n'est pas ça qui nous empêchera de nous aimer. » Je relevais la tête vers lui et souris légèrement, m'emparant de ses lèvres pendant quelques secondes avant de reposer ma tête sur son torse et de fermer les yeux, ne pensant plus qu'à Noah et moi, ainsi que notre avenir ensemble. J'étais persuadée que rien ne pourrait nous séparer.

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Je saluais Birdie qui s'en allais pour rejoindre la maison voisine, la sienne. Nous avions retrouvé nos liens d'avant, nous recommencions à sortir entre filles et à nous confier l'une à l'autre, mais ça n'avait pas été facile. Après tout, avec un simple baiser, j'avais tué son frère. Rongée par la culpabilité et après avoir compris que cela avait été causé par ma nature de Mai qui venait de se manifester, j'étais aller tout lui confesser. Elle avait pris ses distances mais était vite revenue, m'assurant que je n'étais coupable de rien. La ravoir dans ma vie me faisait le plus grand bien, surtout maintenant qu'elle était au courant et qu'elle me soutenait du mieux qu'elle pouvait. Je soupirais de bonheur et fis demi-tour pour atteindre ma maison. Mais au moment d'arriver à la porte, je remarquais que cette dernière était ouverte. Depuis que ma transformation avait eu lieu, j'étais beaucoup plus méfiante qu'avant. J'ouvris la porte plus grand et rentrais avec méfiance dans la demeure. « Y a quelqu'un ? » Je m'emparais d'une batte de baseball qui traînait toujours dans l'entrée. Mes parents étant anti-armes à feu, alors j'avais appris à me défendre avec divers objets. Je m'avançais dans la maison plongée dans le noir. Soudain, un vase se brisa en mille morceaux en tombant sur le sol, et je me retournais subitement. Je sentis une présence derrière moi et me bousculer. Tous mes sens furent à l'affût, et malgré le noir, je voyais extrêmement bien. Cela dit, je n'étais encore qu'une nouvelle dans ce nouveau monde, et je ne me sentais pas du tout capable d'affronter ceux qui me voulaient du mal. En apercevant une silhouette devant moi, je pris le chemin opposé et montais les escaliers avec précipitation. J'étais consciente que la personne me pourchassait, aussi je me mis à courir dans les couloirs. J'atteignis enfin ma chambre, et je refermais la porte précipitamment, résistant à la pression de l'autre côté de la porte. Je pleurais et criais, et c'est dans ces moments-là que je haïssais mes parents pour ne pas m'en avoir parlé, pour ne pas m'avoir entraîné avant. Je bloquais la porte avec ce que j'avais sous la main, et j'allais me planquer au fond de ma chambre. Mais quelques secondes après, la porte s'ouvrit subitement suite à un violent coup de pied, et regardant l'enfer devant moi, je me mis à crier aussi fort que possible. C'est au bout de quelques secondes que je réalisais alors ce qui était en train de se passer. Clare se tenait devant moi, essoufflée, les mains sur les hanches. Repliée sur moi-même, les mains au visage, j'enlevais ces dernières, sous le choc. « Clare ? » Elle haussa les épaules. « Je savais que tu n'étais pas prête à l'affrontement, mais pas à ce point-là. » Je fronçais les sourcils et me redressais, m'essuyant les yeux d'un revers de la main. « Tu es une Mai, Oxana. Tu n'as pas à crier et pleurer et t'enfuir dès que tu as peur. Tu dois être prête à te battre. » Je soupirais. Je ne connaissais Clare que très brièvement. C'était la fille que mon père avait eu avant de mettre ma mère enceinte, et celle qu'il n'avait pas élevée. Je l'avais rencontrée à l'enterrement de mon père, et c'est elle qui m'avait appris tout sur les Mai, qui m'avait appris les choses importantes. Mais ça s'était arrêté là. « Il faut t'entraîner. Allez viens, on va faire un tour. » Elle m'envoya une veste que j'enfilais en fronçant les sourcils, et sans poser de questions, je la suivis dans la nuit noire. Mon premier entraînement.

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« Tiens, mais qui voilà. Oxana Blankett. » Maxime Joads me regarda avec ce regard qui me faisait tant frissonner. Jamais un homme ne m'avait regardé de cette façon, et cela me faisait extrêmement de bien. Lorsque j'étais avec lui, je me sentais belle et importante. Même si je préférais mourir plutôt que d'avouer qu'il me plaisait beaucoup. Depuis deux ans, ma vie avait été bouleversé avec ma transformation en Mai. Clare avait décidé de m'entraîner, et depuis, un tout nouveau monde s'était ouvert à moi, et mes fréquentations avait changé. J'avais rencontré Maxime par tout hasard. Maxime fait partie des familles, il a neuf vies, et il pourrait avoir du mépris pour moi, pauvre Mai avec une seule vie. Et pourtant, dès que je parlais, il avait l'air fasciné, et cela me perturbait énormément. J'avais décidé ce soir là d'aller faire un tour sur les toits de San Francisco, comme à mon habitude lorsque j'avais besoin de prendre l'air. Il faut croire qu'un autre avait eu la même idée. J'allais m'installer à ses côtés. « On dirait que quelqu'un se fait un repas en tête-à-tête avec lui-même. » Je rigolais et m'emparais d'un bout de son plat. « Qu'est-ce que tu fais là ? » Je haussais les épaules. « Je voulais prendre l'air, admirer le paysage. » A ce moment-là, je tournais la tête vers les rues de San Francisco. La nuit et vues des toits, elles étaient magnifiques. Je soupirais de bonheur et me retournais vers Maxime. Nous passions quelques minutes à discuter, jusqu'à ce qu'il me propose d'aller faire un tour. Il se leva et me tendit sa main que je pris pour m'aider à me relever. « Allez viens, on va s'amuser un peu. » Les minutes suivantes, nous les passions à sauter de toits en toits, à courir les cheveux aux vents. Ca faisait beaucoup de bien. Au bout de quelques temps, nous nous arrêtions, essoufflés. C'est alors que Maxime s'approcha de moi et releva mon visage pour déposer un baiser sur mes lèvres. Mais je me reculais, troublée. « Je... je ne peux pas. » Je n'avais pas encore fait complètement le deuil de Noah, et je n'étais pas prête pour m'engager dans une nouvelle relation. Je regardais une dernière fois Maxime avant de faire demi-tour et de courir sur les toits avec la grâce d'un chat afin de retrouver ma maison.

Phoebe est sublime
Bienvenue

Merci beaucoup. C'est vrai que Phoebe, je l'aime de plus en plus. Faye est tellement une badass.
Chloé, dire que j'ai vu de mes propres yeux ce qui se passe sur ta signature.

Faye gère tout, j'avoue, encore plus dans tes gifs
De tes propres yeux, la chance

FAYE C'EST LA MEILLEURE.
Ouais. Mais bon, ça c'était rare, Ian passe plus de temps à relooker les meufs qu'à embrasser Nina.

mon amante avec tonkin
encore un tandem de choc que tu nous réserves là.

Mon amante et Shelley, c'est toi qui a un duo d'enfer.
En tous cas, la famille Gallagher-Blankett va tout déchirer.

J'AI FINI.

Très jolie fiche mademoiselle
Je valide

OH BA MERCI BIEN MADEMOISELLE.